La vie est magique, elle nous fait voyager à travers différentes péripéties et on rêverait d’avoir la potion magique pour résoudre tous nos problèmes.

Je n’ai rien inventé mais je l’ai vécu au fil des différentes étapes de ma jeune vie alors cet article est forcément inspiré par l’un de mes chapitres. J’ai regroupé trois points clés qui m’ont permis de me retrouver, de me comprendre et d’apprendre à m’aimer. Si vous riez derrière votre écran, permettez moi de partager vos éclats car c’est toujours plus sympa de rire à deux 😉

La confiance en soi : l’ultime beauté 

La beauté est une idée conditionnée qu’on se fait d’elle. Si les gens ne nous trouvent pas beau, alors on devient complexé. Durant l’enfance, nos parents nous disent souvent « tu es le plus beau ». C’est seulement à partir de l’adolescence, parfois avant, qu’on est confronté aux jugements de ces autres. Ne permettez pas à autrui de décider pour vous si vous êtes belle/beau ou pas. Il est vrai que l’on vit dans une société d’apparence qui nous oblige  à nous conformer à des critères de beauté.  Pourquoi ? Nous avons simplement peur de ne pas être accepter dans un groupe social. La vraie question à se poser : que pensez vous de vous-même, qui êtes vous ? Si vous avez assez confiance en vous, votre beauté en sera beaucoup plus étincelante. Dans le cas contraire, devenez ce que vous voulez être. Je ne dis pas de faire de la chirurgie qui n’est pas la solution et qui ne fera que créer un tourbillon infernal de complexes. Il suffit juste de se donner les moyens de faire ressortir le meilleur de vous même, ce qui vous ressemble.

Belle ou pas, belle est la question. Je suis une fille et comme beaucoup d’entre elles, je dévore les magazines de mode et j’utilise des artifices tels que le maquillage ou les accessoires. Lorsque j’étais petite, on m’a souvent répété que j’étais belle, je ne comprenais pas. Lorsque j’étais adolescente, on m’a souvent dit que j’étais moche, je comprenais. Alors, face à mon miroir il était clair : j’étais moche, c’était ainsi. Je n’ai commencé à me maquiller qu’à partir de 18 ans : un crayon noir, je m’en souviens. J’ai également coupé ma longue chevelure que je trainais depuis petite (avant, les cheveux longs n’étaient pas tendance, semblait-t-il). J’ai commencé par me féminiser et les compliments de mon enfance revenaient. Drôle, n’est ce pas ? Pourtant, la blessure était toujours là : manque de confiance en soi. Pourquoi ? Parce que les mots sont forts et si l’on ne l’est pas assez alors on devient vulnérable. Sauf qu’aujourd’hui, si l’on me dit que je suis moche alors je dirais « merci ». Mon bagage d’insultes n’a plus aucune place pour ces personnes qui tentent de trouver du réconfort sur leur propre apparence en déstabilisant l’autre. Je ne suis ni belle, ni moche, je suis juste moi, celle que je veux être. 

Sortir de sa zone de confort : un risque ?

À un moment donné, on commence tous par se créer une routine. On ne l’aime pas forcément, on s’en plaint souvent mais elle est rassurante : l’habitude. On a peur de sortir de cette sphère que l’on s’est créée, l’extérieur c’est l’inconnu. Soyez curieux, soyez ambitieux, changez cette routine et vous verrez que votre vie en sera beaucoup plus palpitante. Si je reste chez moi tous les dimanches à regarder la télé, mon corps et mon esprit s’habituent et je me sens réconforté. Sortez ! Admirez la vie, le soleil qui brille ou les nuages gris. Inspirez vous de ce que vous aimez et réalisez vos rêves. Après tout, si vous ne le faites pas, le seul coupable c’est vous.

Je rêvais de reprendre mes études mais ma vie sur la Côte d’Azur, plus particulièrement à Monaco, était bien belle. Seulement, un jour je me suis réveillée avec un mal être. Cette vie que j’avais voulu, glamour, ensoleillée, pleine de paillettes dans un milieu privilégié que je m’étais octroyé pendant 7 ans, ne correspondait plus à mes attentes. Comment quitter une ville presque parfaite avec une vie sociale très remplie, un parcours professionnel plutôt riche, des sorties « mondaines » pour une nouvelle aventure qui sonnait morose… Destination la capitale, région plutôt grise, métro, stress et j’en passe. Difficile ? Très difficile ! Puis, arriva la révélation : lorsque j’ai fait mon choix de partir. Tout n’était qu’illusion et en quelques instants cette vie de paillettes s’est arrêtée. Ce qui ne veut pas dire qu’elle ne va pas se poursuivre ailleurs avec sûrement de nouvelles personnes et de nouveaux projets professionnels. Résultat d’avoir pris le risque de sortir de ma zone de confort : depuis 1 an, je suis à Paris, ma vie sociale s’est vidée rapidement pour finalement laisser place à un cercle beaucoup plus qualitatif. Je me sens épanouir de jour en jour. Ma nouvelle vie pro est excitante car elle est faite de multiples challenges que je dois relever toute seule, de décisions, de nouveaux échecs et de belles réussites. Je ne regrette en rien d’avoir pris ce risque. 

S’écouter : comment vais-je ? 

Avez vous déjà pris le temps de vous poser bien confortablement et de vous questionner dans le silence. Les plus adeptes feront de la méditation mais si vous êtes encore novice en la matière, vous pouvez tout simplement prendre 10 à 15 minutes pour vous 2 à 3 fois par semaine (article prochainement sur la méditation facile). L’idée est simple : c’est le silence total, personne ne doit vous perturber, vous ressentez l’énergie de votre corps du haut de votre tête jusqu’aux orteils et observez vous. Ce petit exercice vous permettra de vous relaxer mais surtout de vous recentrer sur vous même. Oui ! Votre vie doit être vécu avec vous et par vous.  

Il y a 2 ans, j’ai perdu un être cher. Mon mental s’est affaiblit, j’ai même eu des problèmes de mémoire qui m’empêchaient d’être concentrée. Lire un livre m’était impossible, participer à une conversation devenait un calvaire, dormir était cauchemardesque et vivre était devenu un châtiment quotidien. C’est alors que j’ai rencontré quelqu’un qui m’a suggéré de prendre du temps pour moi, de m’écouter, de pleurer s’il le fallait. Je n’y croyais pas puis j’ai essayé. Au début, c’est difficile de comprendre puis avec le temps j’ai réalisé que c’était bon d’écouter ses sentiments, ses sensations, ses états d’âme qui font partis de nous. Lorsque je prends le temps de m’observer, j’arrive plus facilement à trouver des solutions, à relativiser un stress injustifié et à vivre à 100%.

Comme je vous l’ai dit au début, je n’ai rien inventé. J’ai lu différents livres qui m’ont dirigé vers une réflexion personnelle sur le sujet. Si vous le souhaitez, je vous donnerais ma « suggestion bouquins » pour une vie plus positive 🙂

N’hésitez pas à laisser un commentaire si vous souhaitez vous exprimer sur le sujet <3

À très bientôt pour un nouvel article !

Ps : J’en profite pour vous dire que prochainement je vais diviser mon blog en 2 parties. La première sera sur « la vie, les envies et ses aléas », la seconde sur « l’art de vivre façon chic »


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